Nombre de réponses recueillies sur place le dimanche après-midi : 37

Ce WE a-t-il répondu à vos attentes ? Quel souhait auriez-vous pour l’avenir ?

–          A répondu à mes attentes : 17

–          Diversifier les lieux de notre pèlerinage annuel.

–          Manque de témoignage d’autres détenus en liberté

–          Je trouve cela très bien !

–          Organiser une autre journée l’année prochaine et en faire partie

–          Les témoignages ; les échanges entre les adhérents et les intervenants qui aident à mieux cerner les actions de l’association et son cadre d’action (membre)

–          Quand chaque ancien détenu raconte son cheminement personnel, cela nous fait découvrir que tout le monde ne vit pas dans un entourage de gentillesse et de paix

–          Je préfère plus d’intervenants moins longs.

–          Ne pas parler (et ailleurs si possible) lorsqu’un intervenant parle, par respect pour lui… et les voisins

–          Pas assez de témoignages nouveaux

–          Je retiens certains conseils de chaque aumônier (travail en équipe, humilité…).

–          J’aimerais entendre le témoignage de jeunes sortants, par exemple les résidents d’Auffargis

–          Assistance clairsemée ; on devrait être 300 au lieu de 100. Tâchez d’avoir une personnalité l’an prochain

–          Très bien la messe et le temps de prière intégrés à l’organisation de notre formation

–          A répondu en partie ; à renouveler

–          C’était excellent, toujours trouver des porteurs d’angles de vue et de thèmes, pour moi Paris est un lieu commode.

–          Rien à dire sur le plan intellectuel et humain, mais je ne retrouve pas le charisme particulier du fondateur « Annoncer la Parole… » Le Bon Larron devient-il une association humaniste ?

–          Pas d’intervenant sur la correspondance, pas assez d’enseignement spirituel

–          Quelques pauses si possible

–          Pour l’instant j’écoute et j’essaye  d’enregistrer

–          Bonne ambiance mais pas assez de monde

–          Plus de témoins. Les témoins sont toujours les mêmes

–          Mes attentes n’étaient pas très précises sur le plan « confessionnel ». Sommes-nous assez conscients du phénomène de radicalisation islamique dans les prisons ? Nous sommes encore sous-informés sur un certain nombre de choses. Avant d’« aimer » les prisonniers, est-ce que nous nous aimons assez les uns les autres ?

–          L’intervention du prêtre aumônier régional n’est pas en accord avec la spiritualité du Bon Larron, qui est de révéler la miséricorde de Dieu confiée au correspondant et au visiteur

–          Heureuse d’avoir retrouvé des membres du Bon Larron que je connais depuis les années 1990. Replongeons dans les écrits du père Aubry !

–          Faire entendre des cassettes du père Aubry (1 le samedi et 1 le dimanche)

–          Bien redéfinir la « charte » du Bon Larron, ne pas s’éparpiller, se concentrer sur ce qu’a voulu le Fondateur

–          Evolution à faire pour vivre

–          Ne changer rien ! Merci pour cette journée

–          Curieusement, le Seigneur m’a donné de mieux connaître le chemin de la pauvreté. Je n’en ai que plus apprécié la gentillesse de chacun.

–          Très bon niveau général, qui mériterait plus de participants. Le Bon larron est à un moment charnière, où il établit des relations amicales avec des aumôneries et d’autres œuvres caritatives. On ne peut que s’en féliciter, après des années de guéguerre! En même temps, il faut garder notre vocation de « poil à gratter » et toujours rester fidèles à cette orientation du Père Aubry: c’est la parole de Dieu annoncée à temps et à contretemps  qui est guérissante. Il serait bon que les aumôniers que nous avons reçus nous confient des correspondances, qui ne font pas concurrence à leur apostolat, mais viennent en appui.(je visite actuellement un prisonnier musulman en Dordogne qui m’a dit que seuls nos courriers et nos visites l’ont dissuadé de se détruire!). Enfin, j’ai regretté le dimanche que le temps laissé au père Patrick pour nous parler de l’adoration ait été si court: il nous disait des merveilles, sur un sujet central.